mercredi 30 janvier 2013
VIH/SIDA
Dans cet article publié dans le blog du sociologue rebelle, lu dans le site en ligne seneweb que j'ai jugé necessaire de poster ici est illustratif à mon sens à la problématique de la gestion du VIH SIDA. Prenons le temps de bien le lire et essayons d'en avoir une compréhension sans parti pris.
Au-delà de l’ire suscitée par les déclarations de Benoît XVI
Le Pape soutenu par un musulman
S’il existe un périple qui ait battu tous les records d’indignations ces derniers temps, c’est bien celui du Pape. Ni Georges Bush, bien qu’ayant foulé au pied les droits de l’homme durant tout son mandat présidentiel, ni Omar El Béchir, défiant la « communauté internationale » par ces voyages malgré le mandat d’arrêt international lancé contre sa personne, n’ont été l’objet d’invectives aussi amplifiées. Pour avoir déclaré, dans l’avion qui le menait au Cameroun, que le préservatif aggravait le problème du SIDA, le prélat s’est vu traité de tous les noms de rat, aussi bien par de soi-disant chrétiens que par des Organisations humanitaires, mues uniquement par la protection du corps alors que la religion papale, tout comme l’islam, se bat pour un équilibre entre ce corps et l’âme suivant une morale et une éthique religieuse.
Il est admis que, pendant les rapports sexuels, le préservatif diminue à 85% les risques de contraction du virus du SIDA. Mais le danger demeure quand on sait qu’à 10-15% l’immunité contre ce virus n’est pas assurée. De ce fait, un individu sain risque sa vie, malgré ce qu’affirme l’industrie propagandiste du préservatif, en entretenant des rapports sexuels avec une personne malade. Nous comprenons tout de même qu’une telle lapalissade dérange certains fonctionnaires vénaux qui ne tirent leurs ressources que de ce vaste business de « lutte contre le SIDA » Force est de reconnaître donc, que la capote ne résoudra pas définitivement le problème du SIDA, mais, comme l’a dit le Pape, elle pourrait même l’aggraver. Ainsi, il est de notre devoir à tous de reconnaître que l’urgence est ailleurs : Trouver impérativement un vaccin contre le VIH puisque d’autres voies autres que les rapports sexuels peuvent conduire à la contraction de la maladie. Jusqu’à présent, aucune solution médicale efficace n’a été trouvée et ce, pas à cause de l’incompétence des médecins et des chercheurs qui, du reste, abattent un travail fort remarquable, mais à cause d’une mise en avant d’une solution qui est loin d’en être une:le port du préservatif.
Même si un jour un vaccin venait à être découvert, la position du Vatican et de l’islam, contre les actes adultérins et la débauche sexuelle, resterait la même car, les Ecritures sont d’une clairvoyance immuables. L’islam et le christianisme préconisent, plutôt, l’abstinence pour les sujets célibataires, la fidélité pour les Hommes mariés. Ici encore une précision reste à faire. La notion de couple ou de conjoint, dans le champ religieux, exclut le concubinage, c’est-à-dire toute forme d’union sexuelle sans aucun mariage préalable. De plus, cette notion de couple ne concerne que l’homme et la femme. Par conséquent, l’homosexualité est, de prime abord, exclut de la conception religieuse de la sexualité.
Benoît XVI s’adressait donc à ces hommes et femmes qui pratiquent leur religion sans en connaître les vrais fondements. Tous les chrétiens et musulmans qui adorent Dieu sans hypocrisie devraient saluer le courage du Pape qui, ni plus ni moyen, n’a fait que dire tout haut ce que les érudits de l’islam et du christianisme ont toujours marmonné par crainte de représailles des puissants athées tapis dans l’ombre.
De plus en plus, nous constatons une vaste politique antireligieuse qui, au nom de la laïcité et des droits de l’homme, œuvre sournoisement pour dénigrer les croyances bibliques et islamiques. Le vœu des hommes de pouvoir athées est de ranger la religion une bonne fois pour toute dans les oubliettes. Ces pourfendeurs de la religion ont réussi à faire du port du voile un crime, et du libéralisme sauvage, de la transsexualité de l’homosexualité, ainsi que de la pédophilie (avec les « boy et girl lover ») un choix de vie légal.
Il est donc temps que tous les croyants du monde s’unissent pour défendre les principes de leurs religions afin d’éviter l’apocalypse de la foi. Le Pape vient de donner le ton de cette lutte. A nous de lui emboîter le pas.
Le sociologue rebelle
mactko@yahoo.fr
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